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Un film de Pedro Morato (2022, 64′)
Un célèbre danseur de flamenco espagnol renonce à sa carrière pour s’occuper de sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Tout en prenant soin d’elle au quotidien, il entame un spectacle dans lequel il tente de réaliser le rêve frustré de sa mère d’être danseuse de flamenco.
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Un film de Jean-Paul Fargier (2013, 52′)
Pionnier de l’art vidéo, Bill Viola ne cesse de repousser les limites du réel et de nos perceptions. Vie, mort, transcendance, temps, espace sont les questions qu’il a choisi de soulever au travers d’un médium sans cesse réinventé. Ce film nous permet de comprendre le cheminement spirituel, la quête artistique et l’expérimentation technologique de celui que l’on présente comme un « sculpteur de temps ».
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Un film de Gaëtan Saint-Rémy (2021, 85′)
Jean-Michel Folon est un des artistes les plus connus de sa génération. Adulé, controversé, oublié, il a traversé des événements peu connus qui ont transformé en profondeur sa vie et son être.
Il se raconte ici par le biais d’archives inédites.
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Un film d’Alain Gomis (2022, 65′)
Avec Rewind and Play, Alain Gomis déconstruit le discours de l’émission “Jazz Portrait” plus de 40 ans après sa diffusion pour nous proposer un autre point de vue, celui du musicien. Le réalisateur retravaille ainsi plus de deux heures de rushes retrouvés pour mettre en lumière la violence symbolique qu’un exercice médiatique comme celui-ci représente pour un artiste noir dans les années 1970 en France.
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Un film d’Élodie Degavre (2022, 75′)
À Charleroi, Liège et Bruxelles, trois architectes et une poignée d’habitant.e.s utopistes vont concrétiser leurs idéaux de logement. Tout juste sortis de mai 68, ils veulent démontrer le potentiel révolutionnaire de l’architecture industrialisée. Une aventure humaine et architecturale qui les anime depuis plus de 40 ans… Que reste-t-il aujourd’hui de leurs maisons de demain ?
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Un film de Marie-Françoise Plissart (2019, 52′)
À Kinshasa, une dizaine d’anciens membres de gangs violents ont formé un groupe de percussionnistes, les Beta Mbonda. Ils jouent avec tout ce qui leur tombe sous la main et construisent entre eux une nouvelle fraternité.
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Un film de Prune Nourry (2019, 74′)
En 2015, l’artiste Prune Nourry apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Elle qui, depuis des années, a centré son travail artistique sur le corps et la bioéthique va intégrer la nouvelle, s’en servir pour construire et se reconstruire.
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Un film de Laetitia Mikles (2018, 52′)
En 2000, la cinéaste Laetitia Mikles enregistre une longue conversation avec la cinéaste japonaise Naomi Kawase. L’enregistrement s’avère inutilisable. Huit ans plus tard, elle embarque pour le Japon avec trois cadeaux qui seront le point de départ du dialogue des deux cinéastes à Nara, la ville de naissance de Naomi Kawase.
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Un film de Sima Khatami & Aldo Lee (2019, 79′)
Deux amis cinéastes décident de capturer des moments de création du chorégraphe français Jérôme Bel. Lui, qui ne se laisse enfermer dans aucune case acceptera t‑il d’être le sujet de leur film ?
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Un film de Christian Tran (2018, 75′)
En 2016, deux institutions parisiennes, le musée Picasso et la Bibliothèque nationale de France (BNF), ont offert à l’artiste espagnol contemporain Miquel Barceló un terrain de jeu à sa mesure ou plus exactement à sa démesure.
Le Musée Picasso lui a proposé son sous-sol dans lequel l’artiste a décidé d’ériger un mur intitulé « le grand mur de têtes », une grande construction tenue par un torchis archaïque qui se veut comme une suite d’autoportraits. Une œuvre pleine de trous, qui laisse passer l’air et la lumière et aspire à une certaine forme de légèreté. À la BNF, l’artiste a investi les parois vitrées de plus de 1000 m² et exécute une fresque éphémère tracée avec les doigts et des outils primitifs dans de l’argile mouillée. Émerge alors tout un monde de terre et de lumière peuplé du motif animal, saisi par une puissante force organique.
Le réalisateur Christian Tran a passé de longs moments auprès de l’artiste au travail, captant en même temps que ses gestes fascinants, des propos à la fois lumineux et érudits sur l’art en général… ce qui ne l’empêche nullement d’écouter des matchs de foot lorsqu’il travaille. Outre le processus créatif de ces deux œuvres monumentales, le film nous offre également l’opportunité de visiter, toujours aux côtés de l’artiste, la cathédrale de Palma de Majorque dans laquelle Miquel Barceló a érigé, entre 2001 et 2006, 300 m² de céramiques en relief, représentant la parabole de la multiplication des pains et des poissons et qui a créée la polémique. Mais c’est surtout la descente dans la grotte Chauvet et les commentaires de l’artiste sur les dessins pariétaux qui constitue le point d’orgue du documentaire et que nous éclaire de façon spectaculaire sur son travail. Gratter, griffer, creuser, triturer, tracer, tout le travail de Barceló tient à la fois de l’art brut, du rituel, de la transe païenne ou sacrée. Et en revenant sans cesse sur deux de ses performances (Paso Doble à Avignon et L’image fantôme à Salamanque) Christian Tran instaure aussi à sa manière une sorte de rituel, un ballet autour d’un artiste hors norme.