Claude Monet à Girverny, la maison d’Alice

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Un film de Philippe Piguet (2011, 52′)
Quarante-trois années durant, de 1883 à sa mort en 1926, Claude Monet a vécu à Giverny. Exactement la moi­tié de sa vie. Il y déve­loppe une aven­ture pic­tu­rale inédite : la pra­tique de la série, déve­lop­pée notam­ment à tra­vers les Meules et les Cathédrales, et enfin les Nymphéas, qui occu­pa l’artiste quelque vingt-cinq ans. A l’écart des rumeurs de la capi­tale, Claude Monet a trou­vé ses marques et por­té la pein­ture au plus haut d’une aven­ture pros­pec­tive qui devait éclai­rer le XXème siècle. Raconté par la voix d’Alice, sa seconde épouse, le film relate quelle fut la vie de cette mai­son­née orga­ni­sée autour des acti­vi­tés de l’artiste et de son jar­din… dont la noto­rié­té n’a ces­sé de croître au fil du temps.

Anna et Vincent

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Un film de Françoise Levie (2015, 65′)
En Belgique, au début de 1890, Anna Boch, peintre et mécène, achète à Vincent Van Gogh, lors du Salon annuel des XX à Bruxelles, l’u­nique toile qu’il ven­dra de son vivant. Il meurt la même année. Anna fait alors l’ac­qui­si­tion d’une seconde oeuvre. Elle donne déjà à Van Gogh une impor­tance que per­sonne ne lui recon­naît encore.
Dix ans plus tard, pour­tant, elle revend ces deux tableaux, car leur éclat l’empêche de peindre. Comment expli­quer cette “riva­li­té impos­sible” entre un peintre de génie, aujourd’hui admi­ré uni­ver­sel­le­ment, et une femme qui n’a pas lais­sé de grandes traces dans l’histoire de la pein­ture ? Le cœur du film, c’est cela. La décou­verte de la per­son­na­li­té très peu connue d’Anna Boch, riche héri­tière, tra­vailleuse achar­née, mêlée à la vie artis­tique la plus féconde de son époque, et qui, sans autre guide que son amour de l’art, sacri­fie tout à la pas­sion de peindre…

Joan Mitchell, une femme dans l’abstraction

Un film de Stéphane Ghez (2022, 53′)
New York 1943’ mêle images d’archives, bande son, extraits de films d’époque pour racon­ter, à tra­vers une ville à la croi­sée des che­mins et de l’histoire du monde, un moment de l’histoire de l’art amé­ri­cain où la moder­ni­té va par­ti­cu­liè­re­ment s’in­car­ner dans la figure et la pein­ture de Jackson Pollock.

 

New York 1943

Un film de Jean-Loïc Portron (2004, 55′)
New York 1943’ mêle images d’archives, bande son, extraits de films d’époque pour racon­ter, à tra­vers une ville à la croi­sée des che­mins et de l’histoire du monde, un moment de l’histoire de l’art amé­ri­cain où la moder­ni­té va par­ti­cu­liè­re­ment s’in­car­ner dans la figure et la pein­ture de Jackson Pollock.

 

Monsieur René Magritte

Un film d’Adrian Maben (1978, 50′)
Un por­trait du peintre sur­réa­liste René Magritte qui prend le par­ti d’ex­pli­quer l’œuvre par la bio­gra­phie et montre la trans­for­ma­tion poé­tique des évé­ne­ments réels en tableaux.

Le cristal et la fumée

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Un film de Arnaud de Mezamat et Nora Philippe (2010, 60′)

La sil­houette du peintre James Ensor hante tou­jours la digue d’Ostende. Ce per­son­nage inclas­sable a éla­bo­ré entre le 19e et le 20e siècle un art d’avant-garde où cou­leurs et motifs sai­sissent le car­na­val du monde. Le film par­coure son art et ses expé­ri­men­ta­tions, au plus près des œuvres de l’artiste.

Le cristal et la fumée

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Un film de Serge Steyer et Stéphane Manchematin (2014, 52′)
Portrait sen­sible du plas­ti­cien Patrick Neu qui déve­loppe, depuis plus de trente ans, un tra­vail avec des matières fra­giles : ailes d’abeilles et de papillons, suie, cris­tal, cire, mues de ser­pent, coquilles d’œufs…

Alechinsky, l’œil du peintre

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Un film de Robert Bober (1997, 70′)
Au départ, l’i­dée est de deman­der à Pierre Alechinsky ce qu’il pense de la repro­duc­tion de ses tableaux cap­tés par une camé­ra. Mais très vite, le peintre va entraî­ner le cinéaste dans son univers…

BILL VIOLA, EXPÉRIENCE DE L’INFINI

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Un film de Jean-Paul Fargier (2013, 52′)

Pionnier de l’art vidéo, Bill Viola ne cesse de repous­ser les limites du réel et de nos per­cep­tions. Vie, mort, trans­cen­dance, temps, espace sont les ques­tions qu’il a choi­si de sou­le­ver au tra­vers d’un médium sans cesse réin­ven­té. Ce film nous per­met de com­prendre le che­mi­ne­ment spi­ri­tuel, la quête artis­tique et l’expérimentation tech­no­lo­gique de celui que l’on pré­sente comme un « sculp­teur de temps ».

Daniel Buren

Un film de Camille Guichard (2000, 52′)

Autour d’un long entre­tien entre le sculp­teur Daniel Buren et le cri­tique d’art Guy Tortosa et de leur déam­bu­la­tion dans les expo­si­tions de l’ar­tiste, Camille Guichard revient éclai­rer les démarches mili­tantes d’un artiste célèbre mais fina­le­ment plu­tôt méconnu.