Silencieuses

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Un film de Claude François (2021, 60′)

Les silen­cieuses sont les sculp­tures qui jalonnent les iti­né­raires bruxel­lois, célèbres ou non, envi­sa­gées non pas comme les numé­ros d’un cata­logue didac­tique mais en fonc­tion de tout ce qu’elles peuvent évo­quer en termes de pré­sence, d’anecdotes ou de sou­ve­nirs. Une indis­pen­sable invi­ta­tion à nous pro­me­ner les yeux grand ouverts.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

No obstacle no image

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Un film d’Isabelle Makay (2015, 61′)

La cinéaste Isabelle Makay par­tage sa vie avec l’ar­tiste plas­ti­cien Ruben Bellinkx. Elle le suit dans sa recherche d’un cerf bien vivant qui se prê­te­rait doci­le­ment à jouer les natures mortes. La quête est longue, le pro­jet fou et les embûches nombreuses.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Folon

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Un film de Gaëtan Saint-Remy

Premier film docu­men­taire réa­li­sé sur Folon, un des artistes belges les plus connus du grand public et sou­vent sno­bé par les cri­tiques d’art. Grâce à de nom­breuses archives inédites, l’ar­tiste se dévoile et par­tage une vision du monde et de l’art en adé­qua­tion et dans laquelle trans­pa­rait un grand humanisme.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Une bosse dans le cœur

Un film de Noé Reutenauer

Kirill Patou, 35 ans, cherche l’âme sœur mais ne la trouve pas. Pour vivre la romance idéale, Kirill s’évade dans une vie ima­gi­naire. Il devient, à tra­vers ses des­sins, un vaillant che­va­lier qui déclare sa flamme aux prin­cesses de ses rêves. Un rap­peur plein d’assurance, dans sa chambre, face à ses hordes de fans amou­reuses. Mais Kirill est tri­so­mique et la réa­li­té le ramène tou­jours à sa dif­fé­rence. Qui n’a jamais connu cette sen­sa­tion, cette dou­leur coin­cée, là, en haut à gauche ? Cette bosse dans le cœur que l’on a tous·tes res­sen­tie dans nos vies. La sen­sa­tion d’un amour incom­pris. Noé Reutenauer connaît bien son pro­ta­go­niste, deve­nu son ami, et montre bien toutes les contra­dic­tions qui l’habitent. Il met en avant la dif­fi­cul­té de Kirill à être avec les autres, les han­di­ca­pés et ceux qui ne le sont pas. Le film, à la fois tendre, ryth­mé et intel­li­gent, repose sur ce per­son­nage au cœur tiraillé, entre vie réelle et vie rêvée, et sur cette ques­tion des rela­tions amou­reuses et sexuelles des per­sonnes handicapées. 

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Mass moving

L’histoire d’un mou­ve­ment artis­tique né en Belgique et en Hollande dans la fou­lée de mai 68. Composé d’artistes et d’ingénieurs, le groupe se défi­nit par des pro­jets et des actions éphémères.

Le but de Mass Moving ? Sortir l’Art des musées et des gale­ries en inves­tis­sant la ville et la rue, pro­mou­voir l’importance de la terre et le concept de chaîne pla­né­taire, faire appel à une dimen­sion ludique et à la par­ti­ci­pa­tion des spec­ta­teurs, dénon­cer l’ordre bour­geois et les conven­tions éta­blies. Le groupe se défi­nit par des Actions réa­li­sées à tra­vers le monde. Butterfly Project lors de la Biennale de Venise, Human Incubation à Amsterdam, Shadow Project à Hiroshima, Réserves d’eau pure dans l’Himalaya, Sound Stream du Cameroun à la Norvège, Society in Conflict à Bruxelles, Ludic Environment MachineVoiture béton­née, les pro­jets se suc­cèdent menés entre autres par Raphaël Opstaele et Bernard Delville, le groupe étant en prin­cipe ano­nyme. Quand les Mass-Movers réa­lisent que le fonc­tion­ne­ment du groupe ne cor­res­pond plus à leur idéal de départ, ils se sabordent en 1976 par un auto­da­fé spec­ta­cu­laire, détrui­sant les machines, brû­lant les des­sins, les pho­tos, les films et les affiches. A tra­vers Mass Moving et ses actions, c’est non seule­ment l’histoire d’une époque qui est racon­tée, mais aus­si les débuts des mou­ve­ments éco­lo­gistes et des éner­gies alternatives.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Exprmntl

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Entre inter­views, extraits de films cultes et images d’ar­chives, Brecht Debackere revient sur le fes­ti­val EXPRMNTL, avant-garde du ciné­ma contes­ta­taire qui connut cinq édi­tions à Knokke entre 1949 et 1974.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Constellations

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Filmé au cœur du Club Antonin Artaud, centre de jour pion­nier dans la thé­ra­pie par l’art, Constellations nous fait entrer dans un monde de créa­tion. Ici, il n’y a aucune dis­tinc­tion entre « patients » et équipe enca­drante. C’est un espace de liber­té, où cha­cun peut à la fois être en lien avec les autres et essayer d’être soi-même. Immersion dans un lieu où créer est syno­nyme de réinvention.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

Mon amie Päivi

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Portrait de Päivi Pennola, peintre, poè­tesse, jar­di­nière. Portrait d’une ami­tié entre deux créa­trices. Portrait de femmes en toute liberté.

En par­te­na­riat avec Cinergie.

La vie en kit

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Un film d’Élodie Degavre (2022, 67′) – Prix du public au Brussels Art Film Festival 2022

À Bruxelles, le terme “Architecte” est une vieille insulte bien connue due aux mas­sacres pro­vo­qués par la bruxel­li­sa­tion. Au sor­tir de mai 68, cette mau­vaise répu­ta­tion natio­nale n’a pas empê­ché quatre audacieux.ses vision­naires Simone et Lucien Kroll, Paul Petit et Jean Englebert de se lan­cer dans le métier à leur manière. Leur point com­mun ? Impliquer les futurs habi­tants dans la concep­tion et dans la construc­tion de leur propre habi­ta­tion. À contre-cou­rant de l’image néga­tive que peut avoir le pré­fa­bri­qué, ils vont consi­dé­rer l’industrialisation comme un moyen de renouer des liens forts entre l’homme et son habi­tat. À l’aide d’archives stu­pé­fiantes et de la ren­contre de ces quatre vieux rêveur.ses, Élodie Degavre, elle-même archi­tecte, nous raconte un pan pas­sion­nant de l’histoire de l’ar­chi­tec­ture en Belgique et nous entraîne ain­si dans une aven­ture au poten­tiel révo­lu­tion­naire dont on devrait toutes et tous s’inspirer.

 

 

Un évé­ne­ment men­suel en col­la­bo­ra­tion avec Cinergie.be 

De Schaduwwerkers (Les travailleurs cachés)

Sorry, this entry is only avai­lable in FR.

Un film d’Annelein Pompe (2021, 47′) – Prix SCAM du Brussels Art Film Festival 2022

À Gand, la Bonne-à-rien néer­lan­daise tra­vaille dans un maga­sin de miel. Elle aurait aimé sans doute mener la vie d’ar­tiste mais que vou­lez-vous ? Il faut bien man­ger et payer son loyer. La Bonne-à-rien néer­lan­daise a un ami de l’autre côté de la rue, Usman, un poète pakis­ta­nais colom­bo­phile. La nuit, à l’heure où les gens habi­tuel­le­ment dorment et les pigeons aus­si, Usman, lui, tra­vaille dans son night shop. Il y a aus­si Clara qui vit dans le rêve de la Bonne-à-rien néer­lan­daise, les experts omni­scients, Geert qui pho­to­gra­phie les yeux des pigeons et Francesco bien sûr, l’homme qui mur­mure à leurs oreilles. Toute cette his­toire, c’est un pigeon qui vous la racon­te­ra. Son nom, c’est Lukaku. Certes, Lukaku a la tête à l’envers et il n’a jamais pu voler mais il en sait long sur ces tra­vailleurs cachés que l’on appelle aus­si les artistes.

 

 

Un évé­ne­ment men­suel en col­la­bo­ra­tion avec Cinergie.be